Sûtras
mahâyaniques
A
partir d'une certaine époque, on a composé des
textes d'enseignement qui se proposaient d'exposer plus clairement
certaines des subtilités du Bouddhisme, tout en conservant
le format historique. Ces sûtras en sont le
résultat. Au plan strictement historique, ils sont
apocryphes. Mais cela ne les empêche pas de
véhiculer des notions profondément bouddhistes.
Sûtra
du Diamant Il ne faut pas confondre la
carte et le territoire. Sujet repris bien plus tard par Korszybski dans
sa "Sémantique générale".
(Le
même en résumé)
Le
Sûtra du Coeur accompagné d'un commentaire de
Hanshan
+ Commentaire
de Brad Warner (disciple de maître
Gûdô Nishijima)
Le
sûtra du Coeur est un texte fondamental du Bouddhisme
Mahâyana, repris tous les jours dans de nombreuses
écoles, Zen en particulier.
Eléments
du Sûtra du Lotus: Introduction Kannon
gyô, Hôben
gyô, Juryô
gyô
Dédicace (tirée du chapitre VII)
Le
sûtra du Lotus est également un des
sûtras mahâyaniques les plus importants,
étudié par presque toutes les écoles,
et tenu en haute vénération par maître
Dôgen. Certaines écoles, essentiellement celles
qui procèdent du moine Nichiren, l'étudient de
façon exclusive.
Sûtra
de l'Ornementation Fleurie (chapitre
40, première partie)
Egalement connu sous le nom
de Sûtra de la Guirlande, ce sûtra a
été à l'origine d'une école
bouddhique chinoise très importante, l'école
Huayen, dont l'influence sur le Zen a été
déterminante.
Sûtra
Shurangama , un des sûtras
mahayana les plus importants, ne fut-ce qu'au plan du format!. Ce texte
est aujourd'hui encore un des textes fondamentaux des écoles
Chan en Chine.
Mantra
Shurangama , la version en sanscrit du
mantra inscrit dans le sûtra au chapitre
6.
Une
réévaluation de l'authenticité du
Sûtra Shurangama.
En effet, ce sûtra est souvent tenu pour "apocryphe" (ce que
sont
de toute façon tous les sûtras
Mahâyâna), mais
chinois, et non pas indien. Voici les arguments au contraire.
Sûtra
Lankavatâra (incomplet:
chapitres 1 à 13, plus extraits des chapitres 18 et 19) La
tradition veut que ce sûtra soit celui que Bodhidharma avait
apporté en Chine et qu'il enseignait. Ce sûtra lui
aurait également servi de sceau de transmission à
ses élèves. Quoique la source du fameux quatrain
"Un enseignement en dehors des écritures, qui ne
dépend ni des mots ni des lettres", il spécifie
aussi que sans les mots et les lettres, rien de tout cela ne nous
serait transmis.
Sûtra
de Vimalakirti [Introduction] [Résumé] [Extrait
du quatrième chapitre]
Divers
autres liens comportant des sutras (1) (2)
En particulier celui-ci, la page
correspondante du site Un
Zen Occidental